Emplois & compétences
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Aides financières et subventions en cours
FNE formation
Qui ? Etat
Quoi ? Le FNE-Formation met en œuvre des actions de formation pour faciliter la continuité de l’activité des salariés face aux transformations liées à :
- La transition écologique : accompagnement de la transition énergétique des modes de production, adaptation à l’épuisement des ressources, adaptation aux conséquences de la crise de l’énergie ;
- La transition alimentaire et agricole : adaptation des méthodes de production, développement de l’agriculture biologique, gestion des ressources alimentaires et valorisation des déchets ;
- La transition numérique : soutien à la mise en œuvre de projets innovants ou nécessitant une forte technicité en matière numérique, accélération de l’hybridation des compétences rendue nécessaire par la digitalisation
Par ailleurs, le FNE-Formation peut également être mobilisé pour soutenir les besoins en formation liés à l’organisation des grands évènements sportifs.
Pour qui ? L’ensemble des entreprises qui ont des salariés placés en activité partielle, sauf les alternants, toutes tailles et tous secteurs confondus.
Combien ? Le niveau d’aide dépend de la taille de l’entreprise et de son chiffre d’affaires.
- Pour les entreprises de moins de 50 salarié.e.s et moins de 10M€ de CA : 70%
- Pour les entreprise demoins de 250 salarié.e.s et moins de 40M€ de CA : 60%
- Pour les autres entreprises (GE) : 50%
Jusqu’à quand ? 31 décembre 2025.
Pass Transitions
Qui ? Région Bretagne
Quoi ? Cette aide vise à aider les entreprises pour réaliser les investissements nécessaires pour accélérer leurs transitions : environnementale, sociétale et numérique.
Pour qui ? Les entreprises de moins de 50 salarié.e.s, de production ou de service aux entreprises de production. Le chiffre d’affaire de l’entreprise ne doit pas excéder 10 millions d’euros.
Jusqu’à quand ? 1er octobre 2026.
Combien ? Le taux d’aide couvre 50% des dépenses éligibles. Cette aide compote 3 volets :
- Les investissements : aide compris entre 20 000 € et 50 000 € ;
- Le conseil : aide comprise entre 4 000 € et 10 000 € ;
- Les ressources humaines : aide compris entre 4 000 € et 10 000 €.
L’entreprise peut solliciter plusieurs volets du PASS Transitions. Mais, elle ne peut pas avoir plus de 2 aides en cours.
Subvention – Prévention des risques ergonomiques
Qui ? Carsat
Quoi ? Ce dispositif vise à réduire l’exposition aux risques liés à des contraintes physiques marquées dans une démarche de renforcement de la prévention des risques professionnels et de la préservation de la santé des salarié.e.s.
Il concerne : les manutentions manuelles de charges, les postures pénibles définies comme positions forcées, et les vibrations mécaniques.
Pour qui ? Toutes les entreprises relevant du régime général de la sécurité sociale, quelque soit le secteur d’activité et la taille.
Combien ? L’entreprise pourra bénéficier d’une subvention à hauteur de 70% des investissements réalisés dans la limite de plafonds, définis comme suit :
- 25 000 € pour les investissements d’actions de prévention (diagnostics, formations, équipements) ;
- 25 000 € pour les investissements d’actions de sensibilisation ;
- 25 000 € pour les investissements d’aménagements de postes ;
- Un forfait de 8 235 € pour les salaires de préventeurs.
Ou
- 75 000 € pour les entreprises de moins de 200 salarié.e.s ;
- 25 000 € pour les entreprises de plus de 200 salarié.e.s.
Jusqu’à quand ? Jusqu’en 2027.
FACT – Fonds pour l’Amélioration des Conditions de Travail
Qui ? Anact
Quoi ? Le FACT (Fonds pour l’Amélioration des Conditions de Travail) soutient les entreprises pour des projets d’expérimentation en terme d’amélioration des conditions de travail, en lien avec les priorités fixées par le contrat d’objectifs et de performance signé entre l’Etat et l’ANACT (Agence Nationale pour l’Amélioration des Conditions de Travail).
Le FACT fonctionne sous forme d’appel à projets. Chaque appel à projets du FACT renvoie à des objectifs, champs d’expérimentations et axes de capitalisation qui lui sont propres. En plus des critères d’éligibilité permanents, des critères spécifiques sont définis en lien avec la thématique ou les problématiques à aborder, les secteurs d’activité ou publics prioritairement visés. Les projets financés par le FACT peuvent s’inscrire :
- dans une démarche d’action individuelle d’accompagnement direct d’entreprises de moins de 300 salariés ou d’associations,
- dans une démarche d’action(s) collective(s) sectorielle(s) territoriale(s) ou nationale(s),
- dans une démarche d’action(s) collective(s) territoriale(s) interprofessionnelle(s).
Pour qui ? Sont concernées les entreprises de moins de 300 salariés, les organisations représentant des branches professionnelles au niveau national ou local, des associations.
Combien ? L’aide intervient sous forme de subvention.
L’ANACT détermine le montant des subventions dans le cadre de l’enveloppe financière attribuée à l’appel à projet. Le FACT ne peut, à lui seul, supporter l’intégralité du coût d’un projet, ces derniers doivent obligatoirement bénéficier de cofinancements : financements propres (dont valorisation des temps consacré au projet) et/ou cofinancement public.
Ces aides peuvent être obtenues dans le cadre d’une action individuelle, collective ou une action de branche.
Plus d’informations
- Dépôt de demande d’aide du FACT pour une entreprise
- Dépôt de demande d’aide du FACT pour une action collective territoriale interprofessionnelle
- Dépôt de demande d’aide du FACT pour une action sectorielle nationale ou territoriale
Aide à la recherche de solutions pour le maintien dans l’emploi
Qui ? Agefiph
Quoi ? L’aide a pour objectif de permettre le maintien dans l’emploi d’une personne en situation de handicap menacée dans son emploi en raison de l’inadéquation entre son handicap ou son état de santé et sa situation de travail.
Elle est prescrite par le conseiller Cap emploi. Cette aide finance les frais occasionnés par l’étude de solutions pour maintenir l’emploi : réunion, temps de concertation, etc.
Pour qui ? L’aide financière s’adresse à :
- tout employeur d’une personne en situation de handicap pour lequel le médecin du travail atteste que le handicap, son aggravation ou une évolution du contexte de travail entraînent des conséquences sur l’aptitude à occuper le poste de travail,
- tout travailleur indépendant handicapé détenteur d’un avis médical indiquant les difficultés à poursuivre l’activité du fait de l’aggravation ou de la survenance du handicap.
Combien ? La subvention est forfaitaire et son montant est de 2 000 €.
Plus d’informations Formulaire en ligne de dépôt de demande d’aide financière
Aide à l’embauche en contrat de professionnalisation d’une personne handicapée
Qui ? Agefiph
Quoi ? Les entreprises qui embauchent une personne en situation de handicap dans le cadre d’un contrat de professionnalisation peuvent bénéficier d’une aide de l’Agefiph.
L’aide a pour objectif d’encourager l’employeur à recruter une personne en situation de handicap en contrat de professionnalisation.
Pour qui ? Est éligible tout employeur de droit privé embauchant une personne en situation de handicap bénéficiaire de l’obligation d’emploi ou ayant déposé une demande de reconnaissance, dès lors que le contrat est d’une durée minimum de 6 mois et que la durée hebdomadaire de travail est au moins égale à 24 heures.
Si la durée est inférieure à 24 heures en raison d’une dérogation légale ou conventionnelle, la durée minimum est fixée à 16 heures minimales hebdomadaires.
Combien ? Le montant maximum de l’aide est de 4 000 €. Son montant est proratisé en fonction de la durée du contrat de travail et à compter du 6ème mois.
Plus d’informations Formulaire de demande d’aide
Déduction pour mise à disposition de personnel envers une PME
Qui ? Direction générale des finances publiques.
Quoi ? Les entreprises qui mettent à disposition de manière temporaire un salarié peuvent bénéficier, sous conditions, d’une déduction.
Pour qui ? Sont concernées par cette déduction les entreprises ou les groupes d’entreprises comptant au moins 5 000 salariés.
La mise à disposition du salarié se fait au bénéfice :
- d’une jeune entreprise de moins de 8 ans,
- d’une PME.
La mise à disposition du salarié dure au maximum 2 ans.
Combien ? La déduction porte sur les salaires, les charges sociales correspondantes et les frais professionnels remboursés au salarié mis à disposition, même lorsque entreprise ou le groupe prêteur ne refacture que partiellement ces coûts à l’entreprise bénéficiaire de la mise à disposition.
La déduction, pour la part excédant la refacturation, s’applique dans le respect de la règle de minimis.
Financement de l’Action de Formation Préalable au Recrutement (AFPR)
Qui ? Pôle emploi
Quoi ? L’AFPR (Action de Formation Préalable au Recrutement) doit faciliter le recrutement d’un demandeur d’emploi via une aide à la formation. L’AFPR permet d’adapter ou de développer les compétences professionnelles requises pour occuper l’emploi proposé dans l’entreprise.
Il doit s’agir d’une action de formation nécessaire avant l’embauche.
Pour qui ? Tous les employeurs du secteur privé et du secteur public.
L’entreprise doit s’engager à recruter le demandeur d’emploi à l’issue de la formation.
L’embauche peut se faire en CDD d’une durée supérieure ou égale à 6 et strictement inférieure à 12 mois, soit
- dans le cadre d’un contrat de professionnalisation en CDD,
- en contrat de travail temporaire, si les missions prévues ont un lien étroit avec l’action de formation préalable au recrutement et si elles se déroulent pendant au moins 6 mois au cours des 9 mois suivant la fin de cette action.
Si le contrat de travail est à temps partiel, la durée hebdomadaire de travail doit être au moins égale à 20 heures, sauf pour certains publics (personnes handicapées, victimes d’accident du travail ou de maladies professionnelles, invalides…), sur attestation du médecin du travail.
Combien ? L’aide AFPR est versée dans la limite de 400 heures de formation. Le montant de l’aide est plafonné à :
- 5 € par heure de formation, lorsque la formation est réalisée en interne directement par le futur employeur (tutorat) ou par l’organisme de formation interne de l’entreprise, dans la limite de 2 000 €,
- 8 € par heure de formation, lorsque la formation est réalisée par un organisme de formation externe à l’entreprise, soit 3 200 € au maximum.
Aide à l’embauche d’un demandeur d’emploi de 45 ans et + en contrat de professionnalisation
Qui ? Pôle emploi
Quoi ? Les entreprises qui embauchent en contrat de professionnalisation un demandeur d’emploi peuvent bénéficier d’une aide de l’Etat.
Ce dispositif vise à faciliter l’accès à l’emploi des demandeurs d’emploi de 45 ans et plus, en leur permettant de se former en vue d’acquérir de nouvelles compétences.
Pour qui ? Ce dispositif s’adresse aux employeurs assujettis au financement de la formation professionnelle continue. Les établissements publics industriels et commerciaux, les entreprises d’armement maritime ainsi que les entreprises de travail temporaire peuvent conclure des contrats de professionnalisation.
Le demandeur d’emploi de 45 ans et plus peut être embauché dans le cadre d’un contrat de professionnalisation qu’il soit conclu à durée déterminée ou indéterminée.
Combien ? Le montant de l’aide est fixé à 2 000 €.
Pour les salariés embauchés à temps partiel, le montant de l’aide est versé proportionnellement au temps de travail effectif.
L’aide peut se cumuler avec l’aide de l’Etat pour l’embauche d’un demandeur d’emploi de 26 ans et plus en contrat de professionnalisation.
Financement de la Préparation Opérationnelle à l’Emploi Individuelle (POEI)
Qui ? Pôle emploi
Quoi ? La POEI (Préparation Opérationnelle à l’Emploi Individuelle) doit faciliter le recrutement d’un demandeur d’emploi via une aide à la formation.
La POEI permet d’adapter ou de développer des compétences requises pour occuper l’emploi durable proposé dans l’entreprise. Il doit s’agir d’une formation nécessaire avant l’embauche. Pour bénéficier de la POEI, l’employeur doit avoir déposé une offre d’emploi auprès de Pôle emploi dans un secteur qui a des difficultés de recrutement.
L’entreprise ne doit pas avoir procédé à un ou plusieurs licenciements économiques au cours des 12 derniers mois précédant la demande.
Cette embauche peut se faire soit :
- en CDI,
- en CDD d’une durée supérieure ou égale à 12 mois,
- dans le cadre d’un contrat de professionnalisation à durée indéterminée.
- dans le cadre d’un contrat de professionnalisation ou d’apprentissage à durée déterminée (CDD) d’au moins 12 mois.
La POEI est également ouverte aux salariés en CUI-CAE et en CUI-CIE (en CDD ou en CDI) et aux salariés en CDD au sein d’une structure d’insertion par l’activité économique (SIAE).
Si le contrat de travail est à temps partiel, la durée hebdomadaire de travail doit être égale ou supérieure à 20 heures, , sauf pour certains publics (personnes handicapées, victimes d’accident du travail ou de maladies professionnelles, invalides…), sur attestation du médecin du travail.
Pour qui ? Employeurs du secteur privé ou public qui s’engagent à embaucher le demandeur d’emploi à l’issue de la formation.
Combien ? L’aide POEI est versée dans la limite de 400 heures de formation.
Le montant de l’aide est plafonné à :
- 5 € par heure de formation, lorsque la formation est réalisée par l’organisme de formation interne du futur employeur, dans la limite de 2 000 €,
- 8 € par heure de formation, lorsque la formation est réalisée par un organisme de formation externe, soit 3 200 € au maximum.
Ce dispositif peut être cofinancé par l’OPCO dont relève l’employeur.
Aide à l’embauche d’un demandeur d’emploi de 26 ans ou + en contrat de professionnalisation
Qui ? Pôle emploi
Quoi ? Les entreprises qui embauchent un demandeur d’emploi de 26 ans et plus en contrat de professionnalisation, peuvent bénéficier d’une aide forfaitaire de Pôle Emploi.
Ce dispositif vise à rendre l’embauche en contrat de professionnalisation plus attractive.
Pour qui ? Ce dispositif s’adresse aux employeurs assujettis au financement de la formation professionnelle continue. Les établissements publics industriels et commerciaux, les entreprises d’armement maritime ainsi que les entreprises de travail temporaire peuvent conclure des contrats de professionnalisation.
Le demandeur d’emploi de 26 ans et plus peut être embauché dans le cadre d’un contrat de professionnalisation qu’il soit conclu à durée déterminée ou indéterminée.
Combien ? Le montant maximum de l’aide est de 2 000 €. Ce montant est proratisé en cas de travail à temps partiel.
Contrats de prévention
Qui ? Carsat
Quoi ? Ce dispositif a pour vocation d’aider les entreprises à réaliser le plan d’actions issu de la démarche d’Evaluation des Risques Professionnels et contenu dans le document unique.
Le contrat de prévention permet de financer l’achat d’équipements, formations en prévention, diagnostics, interventions d’ergonomes ou plus généralement la mise en place d’un programme général d’amélioration des conditions de santé et de sécurité au sein de l’entreprise.
Pour qui ? Peuvent demander l’aide les entreprises de moins de 200 salariés, qui appartiennent à une branche d’activité pour laquelle aura été préalablement conclue une convention d’objectifs nationale ou régionale.
Pour les entreprises de moins de 50 salarié.e.s, l’aide proposée sera sous forme d’une subvention TPE/PME.
Combien ? L’avance financière est octroyée par la caisse dont l’entreprise dépend pour lui permettre de mettre en place tout ou partie du plan d’action est versée dans les conditions (critères, échéances et montants) définies en lien avec la caisse régionale et décrites dans le contrat de prévention.
Toutefois, le montant versé ne peut pas dépasser 25 000€.
Transitions collectives : accompagnement à la reconversion des salariés
Qui ? DREETS
Quoi ? Transitions collectives (Transco) est un parcours de formation qui s’inscrit dans le cadre du Plan de Relance. C’est un dispositif d’accompagnement à la reconversion des salariés.
Il permet d’anticiper les mutations économiques de l’entreprise en accompagnant les salariés volontaires vers une reconversion sereine, préparée et assumée.
Les salariés conservent leur rémunération et leur contrat de travail pendant toute la durée de la formation. Ils bénéficient d’une formation financée par l’État, dans le but d’accéder à un métier porteur du territoire (métiers émergents issus de nouveaux domaines d’activité ou de métiers en tension dans des secteurs qui peinent à recruter).
Pour qui ? Les entreprises :
- qui font face à des mutations sectorielles ou à une baisse d’activité durable,
- qui ont besoin d’anticiper sur l’avenir pour rester compétitif et qui souhaitent accompagner sereinement plusieurs salariés dont les métiers sont impactés par ces transformations,
- qui ont des besoins de recrutement sur des métiers porteurs (transition écologique, numérique, santé, soins, etc).
Ce dispositif s’ouvre au financement des reconversions dans le cadre des ruptures conventionnelles collectives ou d’un accord de Gestion des Emplois et des Parcours Professionnels (GEPP). Il s’agit d’accompagner des salariés, sur la base du volontariat, dans des parcours de formations ciblées vers des emplois qui recrutent sur le même territoire.
Combien ? La rémunération des salariés (y compris les charges sociales légales et conventionnelles) et le coût pédagogique des formations certifiantes d’une durée maximale de 24 mois. La prise en charge de l’État dépend de la taille de votre entreprise :
- 100 % pour les entreprises de moins de 300 salariés,
- 75 % pour les entreprises de 300 à 1 000 salariés,
- 40 % pour les entreprises de plus de 1 000 salariés.
Volontariat Territorial en Entreprise – VTE territoires d’industrie
Qui ? BPI FRance
Quoi ? Le Volontariat Territorial en Entreprise – VTE permet d’inciter les étudiants et jeunes diplômés de l’enseignement supérieur à se tourner vers les entreprises, en leur offrant des missions à responsabilités en lien direct avec les dirigeants. Le VTE a 2 objectifs :
- accompagner les dirigeants de PME et ETI françaises dans le recrutement de jeunes talents,
- proposer aux étudiants ou jeunes diplômés des postes à responsabilités au sein de ces entreprises.
Pour qui ? Le VTE s’adresse aux PME et ETI implantées dans l’un des 148 territoires d’industrie, ayant recruté un jeune talent à partir du niveau Bac+2, en alternance ou diplômé depuis deux ans maximum (CDD ou CDI), pour une durée minimum d’un an.
Combien ?
- Une subvention d’un montant de 4 000 € versée par l’Etat et la Banque des Territoires (opération 1 000 volontaires territoriaux en entreprise). Cette subvention concerne les contrats éligibles au VTE signés depuis le 1er janvier 2020.
- Une aide de 1 200 € par jeune versée par Action Logement.
- Une aide versée par certaines Régions.
Appui financier – Prime à l’emploi
Qui? Michelin
Quoi? Michelin a décidé, sur chaque bassin d’emploi où il est présent industriellement, d’être un acteur reconnu et efficace du développement économique en accompagnant chaque fois que possible à la création d’emplois durables. A ce titre, Michelin propose son concours financier sous la forme d’une prime à l’emploi aux PME industrielles qui créent de l’emploi. Michelin intervient pour les entreprises situées dans le bassin d’emploi d’un de ses établissements industriels (soit 50 km ou une heure de route autour du site). En Bretagne, Michelin est présent sur Vannes.
Combien? Les entreprises qui ont un projet de développement peuvent bénéficier d’une prime à l’emploi de Michelin dont le montant est défini sur la base de 1 500 € par emploi créé sur 3 ans.
Jusqu’à quand? Pas de date de clôture connue.
Aide aux projets à fort impact sur l’emploi
Qui ? Saint Brieuc Agglo
Quoi ? Subvention accordée pour la reprise et/ou la création d’au minimum 10 emplois équivalent temps plein en CDI dans un délai de 3 ans maximum.
Pour qui ? Entreprises de Saint Brieuc Agglo
Combien ? Plafonné à 90 000 € pour une entreprise de production industrielle, 30 000 € pour les autres activités.
Appels à projets en cours
Etudes-actions sur l’emploi-formation
Qui ? La Région Bretagne et la DREETS
Quoi ? Cette aide encourage les travaux d’observation visant à améliorer la connaissance des emplois, des métiers et des besoins en compétences et en qualifications dans les différents secteurs de l’économie bretonne.
Les thématiques d’étude pourront concerner :
- L’analyse prospective des besoins en emplois et en compétences, notamment l’impact de la transition écologique sur l’évolution des métiers et compétences
- La connaissance des besoins sur le marché du travail
- L’initiation de démarches régionales d’observation sur l’emploi, les compétences et la formation
Cet appel à projets à lieu dans le cadre du Contrat de Plan Etat-Région 2021-2027 sur la thématique « Insertion Emploi Formation ».
Pour qui ? Toutes entreprises.
Combien ? Subvention accordée au titre du CPER d’un montant maximum de 50% de l’assiette subventionnable.
Accompagnement et conseil
Prestation « Conseil en ressources humaines »
Qui ? DREETS
Quoi ? Cette prestation doit permettre de contribuer au développement de l’emploi et à la professionnalisation de la fonction Ressources Humaines (RH) par l’appui d’un consultant prestataire.
Pour qui ? Les entreprises de moins de 250 salarié.e.s avec une priorité donnée aux plus petites entreprises.
Combien ? L’Etat participe au financement de la prestation à hauteur de 15 000€ HT maximum et, afin de limiter le reste à charge pour l’entreprise, un cofinancement peut être assuré par un OPCO, une chambre consulaire ou une organisation professionnelle.